L'histoire commence le 9 novembre 2003.
La bestiole en photo prise
bien avant que j'en devienne le bénéficiaire
La suite au prochain épisode.
La vidange première
partie.
Rien de bien particulier, à part quelques difficultés
à retirer la crash-bar et le bas du carénage à droite.
Suivre tranquillement
les explications de la RMT ou du manuel Haynes.
Une question nous traumatisait tous : mais à quoi
servaient donc les rondelles
cuivrées en trop.
Un dessin vaut mieux qu'un long discours : sur le schéma du moteur ici
(1) on voit en bas à droite, au niveau du couvercle de filtre à
huile (pièce 124),
vous avez deux vis et deux rondelles (pièces 121).
La suite ici.
Surprise : les joints sont morts d'une vilaine mort... La suite dans quelques heures.
Finalement, les joints de cache-culbus sont à changer, de l'ordre de 5 € pièce chez BMW. Au passage achat de l'écrou de fixation du cache-culbu gauche qui s'était révélé absent.
Les culasses ont été ressérées, le jeu aux soupapes réglé, par contre le fil de masse rafistolé s'est séparé en deux, l'épissure n'a pas tenu.
Entre temps l'allumage a été réglé en ayant réussi à stabiliser les carbus à 1000 t/minutes.
S'en est ensuivi une séance épique de réglage de la carburation qui a échouée par manque de temps. La vis de richesse du carburateur de droite étant sans effet, je décide de les démonter.
Les photos ici.
Il semblerait que l'anneau d'étanchéité entre le tuyau de mélange (puis d'aiguille [RMT]) et la buse (gicleur d'aiguille [RMT]) soit mort. Il est déchiré.
En fait il ne s'agit pas d'un joint, mais de crasse.
Un coup de pinceau à l'essence et d'air comprimé et il n'y parait plus.
La plouquie(*) débarquant en région parisienne, elle fut exploitée à coup de filet-mignon pour travailler dans des conditions pas faciles-faciles(**) à l'inspection de carbus:
Bilan :
(1) source www.ulismotorradladen.de
(*) Gilles Audois mais pas à l'oeil
(**) "On a pas des vies facile facile"